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La fatigue pandémique a un impact autant sur le travail que sur la vie quotidienne.

Voici trois conseils simples pour vaincre la fatigue pandémique

Pour prévenir notamment de la fatigue pandémique, Robert, à la tête d’une trentaine de salariés, a eu l’idée, à intervalles réguliers, d’instaurer la “journée positive”. Ainsi, il est proposé à tous les collaborateurs, cette journée là, de petits ateliers bonheurs. Il s’agit de cultiver la pensée positive en mettant en avant tous les petits bonheurs qu’on est amené à vivre, à titre personnel ou professionnel.

Et, chaque mois est élu monsieur ou madame bonheur. Cette petite compétition amicale a eu un effet terriblement positif de par sa simplicité et son efficacité. Après quelques mois, l’entreprise a regagné aussi bien en productivité qu’au niveau de la qualité de vie au travail.

D’où vient la fatigue pandémique ?

La fatigue pandémique, selon la définition de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), est une réponse naturelle et malheureusement attendue à une crise de santé publique prolongée. L’OMS explique encore que cette réponse, plus ou moins accentuée selon les individus, a un impact sans précédent sur la vie quotidienne de chacun.  

Or, c’est vraiment la force de la France de savoir se montrer solidaire. Et bon nombre d’entrepreneurs, de patrons de TPE et de PME, ne sont pas en reste. Grâce à l’intelligence collective notamment, ils arrivent à conserver le moral de leurs collaborateurs. Et leur propre moral au passage !

Fatigue pandémique versus plaisir de vivre

Pour ma part, je vous propose trois conseils pour vivre au mieux ce couvre-feu qui s’éternise. Et qui redevient confinement ici et là. En tout état de cause, appliquer ces conseils vous aidera à dépasser ou éloigner de vous la fatigue pandémique.

Le principe des ateliers bonheurs est un des moyens d’y arriver. Cette idée d’atelier m’est venu après plusieurs constatations. Notamment, de plus en plus de dirigeants ou managers que je croisais avaient vécu au moins une fois un syndrome d’épuisement professionnel.

Nous devons être nombreux à faire ce constat puisque ce syndrome a été reconnu comme pathologie par l’OMS en mai 2019. Le syndrome d’épuisement professionnel est la version française du trio bore out, brown out et burn out. Et il est beaucoup plus explicite me semble t-il. C’est un des signaux que je repère notamment dans les risques psycho-sociaux.  

Comment dépasser la fatigue pandémique ?

Faire le plein de petits bonheurs

La notion de bonheur est diverse, différente pour chacun de nous. Quoi qu’il en soit, ce bonheur commence par de petits plaisirs personnels, sachez reconnaître les vôtres quitte à vous en faire une liste à vous répéter en méthode Coué.

Personnellement, je prends du bonheur à prendre des nouvelles de mes proches. Et chaque année, je fais le tour de mon agenda afin de vérifier que j’ai bien pris des nouvelles d’êtres chers.

Bien vivre le confinement ou le couvre-feu permet d'éloigner les risques de la fatigue pandémique
Vaincre la fatigue pandémique

 

Quelque soit la difficulté de la vie, croyez-moi, des choses positives se passent toujours à un moment donné. Et plus je penserai positivement ce qui se passe autour de moi, plus je me rendrai compte du nombre incroyable de choses positives.

Vous pouvez même associer ces pensées positives à des images positives, celles qui correspondent à votre état d’esprit du moment. Et le choix est vaste comme les souvenirs de vacances, un beau film ou un simple bon moment. Et plus vous engrangerez ainsi de considérations positives et plus vous passerez de bonne nuits et moins vous pourrez être stressé.

Si vous êtes en télétravail, gardez une certaine routine, à commencer par vous lever quasiment comme habituellement et habillez-vous. Cela a pour mérite de garder un minimum de routine nécessaire pour garder le fil. Non seulement, cela vous aidera à trouver et garder un rythme mais, les reprises de travail seront plus faciles.

Prendre rendez-vous avec soi-même

Ce rendez-vous avec vous peut revêtir plusieurs formes:

  • Un plaisir à vous offrir… juste pour le plaisir !
  • Une activité physique à (re)trouver
  • Un livre, une chanson, un poème à écrire ou à interpréter, etc.

J’ai la chance d’habiter près d’un parc arboré et je ne me lasse jamais de le contempler. C’est un de mes petits plaisirs journaliers. En prenant le temps de savourer ces petits moments, on peut y observer nombre de choses intéressantes. Ici des variétés d’arbres, là un écureuil, plus loin le flot incessant d’un lac.

Quelque soit le temps et le moment, vous pouvez ainsi marcher ne serait-ce que vingt minutes par jour. Et puis, nous avons tous un côté créatif en nous. Alors, si vous ne connaissez pas votre créativité, c’est peut-être le moment de vous y penchez, non ?

Le sourire, le rire réparateur

Trouvez toutes les occasions pour rire autant que vous le pouvez même et surtout gratuitement ! Avant l’âge d’aller à l’école, nous rions dix huit fois plus en moyenne qu’à l’âge adulte, ça vous parle ? Vous avez du mal à rire ? Dans ma pratique de coaching en développement personnel, le travail sur l’estime de soi est assez central. En effet, plus l’estime de soi est élevée plus les choses qui nous font du bien viennent naturellement et facilement.

Vous pouvez aussi pratiquer des séances d’une méthode qui commence à être connue en France, le Yoga du Rire. Vous pouvez aussi pratiquer des séances de Rigolo-thérapie. L’avantage, dans ce dernier exemple, est que vous bénéficiez aussi de l’effet de groupe.

Eteindre la télévision, la radio

On ne le répétera jamais assez, bon nombre de ces médias ne sont là que pour nous prendre du temps de cerveau disponible. Écoutez donc ce qu’en disait un ancien PDG de télévision.

Pour autant, il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain. En effet, en cherchant bien, vous pouvez trouvez ici et là quelques pépites comme sur la nouvelle chaîne Culture box si vous aimez la culture ou Arte qui s’adresse un peu plus à notre réflexion.

Éviter la fatigue pandémique est donc possible dès lors que vous gardez un minimum de régularité et de constance. Cela demande de mieux se connaître pour retrouver de l’estime de soi et de la confiance en soi. Cela réclame aussi de communiquer autant que possible avec autrui. Ça tombe bien, j’adore écouter comme aider. Ce sont des raisons pour lesquelles j’ai fait du coaching professionnel mon métier pour vous accompagner. Alors, contactez-moi.





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